A l’origine de ce projet: la rencontre entre Aurore Vicet, enseignante et chercheuse au sein de l’équipe NanoMIR à l’IES, et Fares Gouzi, physiologiste et pneumologue au CHU de Montpellier.

L’idée: permettre aux médecins de diagnostiquer précocément des maladies cardiovasculaires, grâce à un appareil capable de détecter des biomarqueurs dans l’air exhalé par les patients.

Une collaboration très innovante pour les 2 partenaires, entre la science des lasers et des capteurs électroniques, et la médecine.

Le travail de mise au point des capteurs de l’appareil s’est fait à l’IES dans l’équipe de Aurore Vicet, et ses réglages en collaboration avec le CHU. Les études cliniques ont commencé en mai; Aurore Vicet espère terminer d’ici l’automne prochain, avant de passer la main à Nicolas Molinari, de l’Idesp, pour une modélisation mathématique permettant de définir un profil du patient insuffisant cardiaque.

Un grand projet salué par l’article à lire ici paru dans la catégorie Valorisation de l’UM.

Photos prises au CHU lors d’un test patient: